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"Comme il est simple! Jamais on ne dirait un baron", dirent quelques habitués quand M. de Charlus fut sorti...Marcel Proust lu par Denis Podalydès
20:09
À ce moment le maître d'hôtel vint me dire que le premier morceau étant terminé, je pouvais quitter la bibliothèque et entrer dans les salons.Marcel Proust lu par Denis Podalydès & André Dussollier
13:59
Aimé alla loger à côté de la villa de Mme Bonptemps ; il fit la connaissance d'une femme de chambre, d'un loueur de voitures chez qui Albertine allait souvent en prendre une pour la journée.Marcel Proust lu par Denis Podalydès
13:12
Alors, Pierre dit à l'oiseauDenis Podalydès, Leslie Menu & The Amazing Keystone Big Band
1:17
Après le déjeuner, quand je n'allais pas errer seul dans Venise, je montais me préparer dans ma chambre pour sortir avec ma mère...Marcel Proust lu par Denis Podalydès
12:53
Après le raid de l'avant-veille, où le ciel avait été plus mouvementé que la terre, il s'était calmé comme la mer après une tempête.Marcel Proust lu par Michael Lonsdale & Denis Podalydès
12:30
Attention ! cria PierreDenis Podalydès, Leslie Menu & The Amazing Keystone Big Band
1:07
Au dessus d eux, l'oiseau voltigeait en gazouillantDenis Podalydès, Leslie Menu & The Amazing Keystone Big Band
1:54
Aussi après le déjeuner, quand j'allai chez Mme de Guermantes...Marcel Proust lu par Denis Podalydès
12:26
Aussi la lecture des journaux m'était-elle odieuse, et de plus elle n'est pas inoffensive.Marcel Proust lu par Denis Podalydès
20:39
C'est alors que les chasseurs sortirent de la forêtDenis Podalydès, Leslie Menu & The Amazing Keystone Big Band
2:21
C'est comme au théâtre quand on dit : "Les dernières places qui restent ne tarderont pas à être enlevées. Avis aux retardataires!"Marcel Proust lu par Michael Lonsdale & Denis Podalydès
10:57
Ce qui remplissait mon cœur maintenant était, au lieu de haineux soupçons, le souvenir attendri des heures de tendresse confiante...Marcel Proust lu par Denis Podalydès
16:34
Ce qui vint à mon secours contre cette image de la blanchisseuse, ce fut, certes quand elle eut un peu duré, cette image elle-même, parce que nous ne connaissons vraiment que ce qui est nouveau...Marcel Proust lu par Denis Podalydès
15:54
Certes nous sommes obligés de revivre notre souffrance particulière avec le courage du médecin qui recommence sur lui-même la dangereuse piqûre.Marcel Proust lu par Denis Podalydès & André Dussollier
17:33
Certes, ce coup physique au cœur que donne une telle séparation et qui, par cette terrible puissance d'enregistrement qu'a le corps, fait de la douleur quelque chose de contemporain...Marcel Proust lu par Denis Podalydès
19:55
Certes, dans les coulisses du théâtre ou pendant un bal costumé, on est plutôt porté par politesse à exagérer la peine, presque à affirmer l'impossibilité, qu'on a à reconnaître la personne travestie.Marcel Proust lu par Denis Podalydès & André Dussollier
13:39
Ces deux mariages dont nous parlions avec ma mère dans le train qui nous ramenait à Paris eurent sur certains des personnages qui ont figuré jusqu'ici dans ce récit des effets assez remarquables.Marcel Proust lu par Denis Podalydès
15:38
Chapitre 1 : Ça a débuté comme çaLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:04
Chapitre 1 : Ça commence en douceurBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 1 : Justement la guerre approchaitLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès3:15
CHAPITRE 2 - Ce n'était pas que je n'aimasse encore Albertine, mais déjà pas de la même façon que les derniers temps...Marcel Proust lu par Denis Podalydès
21:50
Chapitre 2 : Je m'apercus en fuyant que je saignais du brasLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:15
Chapitre 2 : Nos allemands accroupis au fin bout de la routeLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:51
Chapitre 2 : Serais-je donc le seul lâche sur la terre ?Louis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès6:15
Chapitre 2 : Un peu de physique amusanteBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 2 : Une fois qu'on y est, on y est bienLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:55
CHAPITRE 3 - Ma mère m'avait emmené passer quelques semaines à Venise...Marcel Proust lu par Denis Podalydès
17:41
Chapitre 3 : Andy Sigman à la rescousseBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 3 : Chaque mètre d'ombre devant nous était une promesseLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:56
Chapitre 3 : La grande défaite, en tout, c'est d'oublierLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:17
Chapitre 3 : Tout arrive et ce fut à mon tour de devenir brigadierLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:40
CHAPITRE 4 - "Oh! c'est inouï, me dit ma mère. Ecoute, on ne s'étonne plus de rien à mon âge..."Marcel Proust lu par Denis Podalydès
13:42
Chapitre 4 : Après un repos, on est remonté à chevalLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:58
Chapitre 4 : Gary s’emballeBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 4 : Il s'agissait de passer la ligne du chemin de fer d'abordLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès3:35
Chapitre 4 : Je n'étais pas très sage pour ma part, mais devenu assez pratique cependantLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:26
Chapitre 4 : Mais bientot les nuits, elles aussi, à leur tour, furent traquées sans merciLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:29
Chapitre 4 : Mon cheval voulait se coucher lui-aussiLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:00
Chapitre 4 : Pendant qu il nous parlait ainsi à mi-voix, sa femme et ses deux fillesLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:10
Chapitre 4 : Une jeune fille, un châle, un tablier blanc, sortaient de l'ombre à présentLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:38
Chapitre 5 : C'est voilà un an qu'ils sont partis déjà !Louis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:59
Chapitre 5 : En somme il était salement mauvais, le moralLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:58
Chapitre 5 : L’Attaque du fourgon des macchabéesBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 5 : La nature est une chose effrayanteLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:03
Chapitre 5 : Pour être bien vus et considérés, il a fallu se dépêcher dare-dareLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:38
Chapitre 5 : Tout marchait parfaitement en somme et nous étions bien en train de gagnerLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:47
Chapitre 6 : Avec nous autres il avait échoué là, vague en instance de Conseil de guerreLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:45
Chapitre 6 : Ça a fait des histoires.Louis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:09
Chapitre 6 : Elle resolut de me quitter sur-le-champ. C'en était tropLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:16
Chapitre 6 : L'attendrissement sur le sort, sur la condition du miteuxLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:31
Chapitre 6 : La cabine est dans le bainBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 7 : A l'abri de chacun de leurs mots et de leur sollicitudeLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:02
Chapitre 7 : D'où qu'ils provinssent décidément, ils ne pensaient qu'à celaLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:58
Chapitre 7 : Déjà notre paix hargneuse faisait dans la guerre même ses semancesLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:06
Chapitre 7 : Dupré donne d'autre part, dans sa terminologie si imagéeLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:59
Chapitre 7 : Elle apparaissait avec son violon avec une manière de prologue impLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:09
Chapitre 7 : Il avait appris au cours de ses séjours à attirer et puis à reteniLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:51
Chapitre 7 : J'avais écrit enfin à ma mère. Elle était heureuse de me retrouverLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:50
Chapitre 7 : Les nuits de Billancourt étaient douces, animées parfoisLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:16
Chapitre 7 : Me réchauffant donc à l'office avec mes compagnons domestiquesLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:45
Chapitre 7 : Musyne disparut avec les autres. Je l'ai attendueLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:05
Chapitre 7 : Photos artistiquesBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 7 : Si les gens sont si méchants, c'est seulement peut-être parce qu'iLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:10
Chapitre 8 : "Ma belle protectrice du" "français" "revint elle-même bientôt"Louis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:24
Chapitre 8 : Branledore mon voisin d'hôpital, le sergent, jouissait, je l'ai raLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès3:50
Chapitre 8 : On retrouve des copainsBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 9 : Ah ! Regarde les donc, Roger, tous les deux ! Comme ils sont drôlesLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:05
Chapitre 9 : Comme on pouvait pas rester là tout de même à regarder la pelouseLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès2:11
Chapitre 9 : Dans les bordels qu'il fréquentait de temps en tempsLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:12
Chapitre 9 : Les femmes s’envolentBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 9 : Sans chique je dois bien convenir que ma tête n'a jamais été très solideLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:25
Chapitre 10 : Ainsi le portugal passé, tout le monde se mit, sur le navireLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:50
Chapitre 10 : D'après ce que je croyais discerner dans la malveillance compacteLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:44
Chapitre 10 : Décidement j'étais un createur d'euphorie !Louis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès3:02
Chapitre 10 : J'empoignais deux bras au hasard dans le groupe des officiersLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès3:29
Chapitre 10 : Je flirte beaucoupBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 10 : Je ressentis en entendant ces mots un immense soulagementLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:40
Chapitre 10 : L'Amiral n'avançait guère, il se traînait plutôt, en ronronnantLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:00
Chapitre 10 : Les huiles ont fini par me laisser tomber et j'ai pu sauver mes tripesLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:59
Chapitre 11 : Dans cette colonie de la Bambola-BragamanceLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:37
Chapitre 11 : Du coup toute l'assemblée éclatait de rigoladeLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:18
Chapitre 11 : Et puis il s'arrêtait de parler, il soupirait, grognaitLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:04
Chapitre 11 : J'en ai perdu l'année dernière pour 122 kilomètres !Louis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:34
Chapitre 11 : J'en appris encore bien d'autres à l'abri des palmiersLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:48
Chapitre 11 : Le tam tam du village tout proche, vous faisait sauterLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:09
Chapitre 11 : On supputeBoris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 12 : À part l'exercice et les sessions de justice, il ne se passait vraiment rienLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès2:57
Chapitre 12 : Alcide m'attendait. Il était un peu vexéLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:37
Chapitre 12 : Au service de la Compagnie Portuaire du Petit TogoLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:01
Chapitre 12 : C'était d'ailleurs une bonne nature, AlcideLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:37
Chapitre 12 : Chaque matin l'armée et le commerce venaient pleurnicher leurs contingentsLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:08
Chapitre 12 : Comme dans cette désolation s'il avait fallu imaginer des événementsLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès5:17
Chapitre 12 : En la paix comme à la guerre, je n'étais point disposé du tout aux futilitésLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:45
Chapitre 12 : Il me trouveraient résolu à pourrir de tout ce qu'il fallaitLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:37
Chapitre 12 : Je me mis à le regarder de bien plus près AlcideLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès3:18
Chapitre 12 : Le Directeur quelques instants plus tard, s'ouvrit un autre chemin violentLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:51
Chapitre 12 : Le vieux vit arriver sur lui quatre miliciens musclésLouis-Ferdinand Céline lu par Denis Podalydès4:46
Chapitre 12 : Mary Jackson où es‐tu ?Boris Vian lu par Denis Podalydès
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Chapitre 13 : Andy et Mike s’en mêlentBoris Vian lu par Denis Podalydès
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